L'Analyse "choc" du Dr Jean-Pierre Willem: "Une expérience menée sur 1,5 milliard d'humains"
Si France 2 a diffusé il y a quelques jours un reportage assassin sur les dangers des portables, c’est bien parce que les opérateurs et fabricants de terminaux ont donné leur accord. Car c’est ainsi qu’ils entendent organise le contre-feu. Le débat sur le danger des téléphones portables a commencé au début des années quatre-vingt-dix. Bien sûr, on a d’abord pensé qu’il s’agissait encore d’une de ces rumeurs que ceux qui refusent le progrès s’ingénient à lancer pour empêcher les industriels de travailler tranquillement. Mais peu à peu a rumeur a pris corps et a été étayée par des études scientifiques, de plus en plus nombreuses. Aujourd’hui, on en est presque aux certitudes.
Après avoir traversé la peau les muscles du visage et les os du crâne, les on des électromagnétiques qu’émettent les téléphones atteignent, à 2cm de profondeur, la région la plus superficielle – mais aussi la plus sensible – du cerveau : le cortex ou écorce cérébrale. L’énergie électromagnétique est convertie en chaleur provoquant une élévation de la température du tissu cérébral. Au niveau du cortex, cette augmentation est d’environ 1°C et si l’on téléphone régulièrement et pendant de longues périodes, il n’est pas impossible que l’effet thermique finisse par léser l’ADN cellulaire et provoquer des tumeurs cancéreuses. On sait aussi que des ondes électromagnétiques d’une puissance cent fois supérieure à celle des portables (mais de même fréquence) cassent les chromosomes de la cellule en morceaux et les recombinent : la cellule devient cancéreuse. Les ondes électromagnétiques des portables pourraient avoir, à terme, le même effet.
S’il y a un lien entre portable et cancer, il doit se retrouver dans les statistiques. C’est le cas. En France, le nombre de décès par tumeur maligne du cerveau, pour les deux sexes, a augmenté de 31 % en dix ans. Aux Etats-Unis, on dénombre une vingtaine d’études épidémiologiques qui ont prouvé la multiplication des tumeurs. Il devient donc de plus en plus difficile de balayer d’un revers de la main les preuves qui s’accumulent. Du coup, opérateurs et fabricants de terminaux ont compris qu’ils avaient peut-être intérêt à ouvrir le débat sur ce sujet qui, s’ils ne le font pas, pourrait, dans quelques années, leur coûter très cher.
C’est ainsi qu’il faut expliquer comment France 2 a osé diffuser il y a quelques jours un reportage assassin sur la nocivité des portables. Sans leur accord tacite, cela n’aurait jamais été possible. Le reportage annonçait d’ailleurs incidemment qu’un « antidote » existait, qu’il était breveté et on peut parier qu’il sera prochainement intégré aux téléphones, en série. Ainsi, on ne pourra pas dire que les industriels n’ont pas pris toutes les précautions dès l’instant où les preuves scientifiques étaient établies. Il faudra même sans doute les remercier e leur prudence.
Il n’en demeure pas moins que l’on compte aujourd’hui 1,5 milliard d’abonnés au téléphone mobile dans le monde sans qu’aucune étude préalable de nuisance n’ait été faite. Conclusion : on a mené, sans aucun contrôle, une « expérience » médicale planétaire dont on ignore encore les conséquences sur la santé.
http://www.next-up.org/main.php?param=nouvellesdumonde21#1
Après avoir traversé la peau les muscles du visage et les os du crâne, les on des électromagnétiques qu’émettent les téléphones atteignent, à 2cm de profondeur, la région la plus superficielle – mais aussi la plus sensible – du cerveau : le cortex ou écorce cérébrale. L’énergie électromagnétique est convertie en chaleur provoquant une élévation de la température du tissu cérébral. Au niveau du cortex, cette augmentation est d’environ 1°C et si l’on téléphone régulièrement et pendant de longues périodes, il n’est pas impossible que l’effet thermique finisse par léser l’ADN cellulaire et provoquer des tumeurs cancéreuses. On sait aussi que des ondes électromagnétiques d’une puissance cent fois supérieure à celle des portables (mais de même fréquence) cassent les chromosomes de la cellule en morceaux et les recombinent : la cellule devient cancéreuse. Les ondes électromagnétiques des portables pourraient avoir, à terme, le même effet.
S’il y a un lien entre portable et cancer, il doit se retrouver dans les statistiques. C’est le cas. En France, le nombre de décès par tumeur maligne du cerveau, pour les deux sexes, a augmenté de 31 % en dix ans. Aux Etats-Unis, on dénombre une vingtaine d’études épidémiologiques qui ont prouvé la multiplication des tumeurs. Il devient donc de plus en plus difficile de balayer d’un revers de la main les preuves qui s’accumulent. Du coup, opérateurs et fabricants de terminaux ont compris qu’ils avaient peut-être intérêt à ouvrir le débat sur ce sujet qui, s’ils ne le font pas, pourrait, dans quelques années, leur coûter très cher.
C’est ainsi qu’il faut expliquer comment France 2 a osé diffuser il y a quelques jours un reportage assassin sur la nocivité des portables. Sans leur accord tacite, cela n’aurait jamais été possible. Le reportage annonçait d’ailleurs incidemment qu’un « antidote » existait, qu’il était breveté et on peut parier qu’il sera prochainement intégré aux téléphones, en série. Ainsi, on ne pourra pas dire que les industriels n’ont pas pris toutes les précautions dès l’instant où les preuves scientifiques étaient établies. Il faudra même sans doute les remercier e leur prudence.
Il n’en demeure pas moins que l’on compte aujourd’hui 1,5 milliard d’abonnés au téléphone mobile dans le monde sans qu’aucune étude préalable de nuisance n’ait été faite. Conclusion : on a mené, sans aucun contrôle, une « expérience » médicale planétaire dont on ignore encore les conséquences sur la santé.
http://www.next-up.org/main.php?param=nouvellesdumonde21#1
Starmail - 1. Jul, 21:56